Naomi Osaka séduit tant par son jeu que par ses origines et le relief d’une personnalité haute en couleur.
La WTA a alors dû se terrer dans l’ombre du Big Three qui a fait la pluie et le beau temps. Surtout le beau temps.
Les pontes de la WTA ont vivoté grâce à la championne américaine Serena Williams qui décidait en janvier 2017 d’écouter son rêve de maternité. Le K.-O. était total. Plus personne ne se risquait à établir une hiérarchie claire dans le top 10 même si des Halep, Wozniacki, Svitolina, Kerber ont tenté de maintenir le navire à flot.
Il manquait une patronne. Une guide. Une leader qui prenne toute la lumière pour éclairer le tennis féminin dans les médias. Naomi Osaka est de cet acabit.
No comments:
Post a Comment