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Wednesday, February 19, 2025

Haïti en larmes : Le cri silencieux d’un peuple brisé



Par Hervé Gilbert

Haïti pleure, son sol tremble sous le poids de la douleur et de l’injustice. Pourquoi tant de souffrances ? Pourquoi tant de violences ? Chaque jour, le vent porte des cris de détresse, des supplications noyées dans le fracas des balles et les flammes qui consument l’innocence. Les enfants périssent sous les yeux de leur mère impuissante, spectatrices brisées d’une tragédie sans fin. Qui entendra ces appels déchirants ? Qui viendra éteindre l’incendie qui ravage l’âme d’un peuple ?

Sous ces regards éteints, la terre d’Haïti saigne, abreuvée de larmes, de deuils et de promesses trahies. Chaque matin, le soleil se lève sur un pays meurtri où l’espoir s’amenuise sous les cendres d’un avenir incertain. Quand viendra enfin le jour où la lumière dissipera ces ténèbres oppressantes ? Sommes-nous condamnés à errer dans cette nuit sans fin, à vivre et à mourir dans la discorde, la misère et l’indifférence ?

Autrefois sanctuaire de solidarité, même la famille n’est plus un refuge. Désormais, elle se disloque sous le poids de la violence, rongée par la méfiance et asphyxiée par la peur. Haïti, jadis terre de fierté et de résilience, ploie sous le fardeau d’un destin brisé. Un peuple prisonnier de son propre tourment, une nation qui vacille entre la survie et l’oubli. Combien de sacrifices faudra-t-il encore avant que l’unité et l’amour ne reprennent leurs droits ?

Pourtant, au milieu des ruines, une voix s’élève. Un murmure fragile mais persistant, un chant où se mêlent douleur et espoir. Écoute cette voix, celle d’un cœur déchiré, d’un peuple en quête de justice. Écoute ce chant, ce cri venu du plus profond de l’âme haïtienne. Peut-être, à travers ses notes, entendras-tu l’appel d’une nation qui refuse de sombrer.

Cri profond d'une âme haïtienne

6 comments:

  1. Haïti saigne, mais son âme ne se rend pas. Sous les cendres et les larmes, une flamme résiste, celle d’un peuple dont l’histoire est tissée de courage et de résilience. Loin du silence complice et de l’indifférence meurtrière, il est temps d’entendre ce cri, non comme une lamentation, mais comme un appel à l’action. Car l’espoir n’est pas mort, il attend seulement que des mains courageuses le relèvent.

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  2. Haiti a besoin des hommes forts.
    Lè yo lage AVIS de RICHERCHE dèyè yon moun Ayiti ...Poukisa wi svp...
    Èske se pran yo paka pran l...Oubyen jwenn yon paka jwenn li,oubyen kotel ye a,nou paka antre al pran l souple?
    Paske mw konnen depi nou gen fotol,depil gen tlf nan men l.Depil dòmi.Kotel ye a nou kapab jwenn li...
    Edem Mande yo svp?
    Lem di w se mechan tout ye, se just .
    Pou yo ka kase fey kouvri sa wi.
    Se jeu psychologist yap fe sou comunaute haitienne lan
    Jeu de manipulation diplomatic de la masse...
    ,si nou pa lave ,tèt rivyè a...
    Sous la ap toujou sal.

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  3. JEAN ROBERT LEONIDASFebruary 21, 2025 at 3:03 AM

    Merci Hervé! Une page émouvante sur une musique de douleur et d'espoir ."Un jour viendra l'aurore et renaîtra notre espérance". Quitte à le répéter ad nauseum, je veux croire mordicus à la résurrection d'Haïti. Merci encore. / Jean-Robert Léonidas

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  4. Une belle page sur une musique de douleur et d'espoir. Merci Hervé.

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  5. Herve’ thank you for this emotional article, you really went through it with sadness and make me more angry about those people in Haiti who don’t do anything for the poor people. I hope one day God will deliver Haiti in this bad situation 🙏🙏🙏😢😢😢….
    Good night 😴

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  6. Mon cher Hervé,
    Avec ces mots aussi touchants, tu as frappé en plein dans le mille. Félicitations! Mais, j'ai une question. En tant que descendants de héros, ne sommes-nous pas trop résilients? Nous avons passé plus de deux siècles à regarder sans mots dire les bandits détruire le patrimoine légué. Quand allons-nous sécher nos larmes pour se mettre debout et crier : BASTA !!
    Le monde entier et la société haïtienne en particulier en a marre de cet état de choses. Nous sommes devenus la risée du monde. On nous définit plus en petits fils de voleurs que de héros. Fini le pleurnichent, finie la résignation, le temps est venu de couper les couilles de ces voleurs, de ces bandits, de ces fossoyeurs de pays. MaxD.

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